New dawn, new day, new life... But feeling good?

Une chanson de Dylan m'est revenu sous les doigts cet après-midi...
(Girl from the north country - The Freewheelin' Bob Dylan - 1963)

C'est curieux comme, dès que j'essaie de me retrouver, c'est la musique de Bob Dylan qui me revient.
C'est une jolie ballade sur un amour perdu. Peut-être est-ce vraiment une ancienne relation, peut-être est-ce un amour idéal, adolescent, auquel on ne croit plus... Un rêve dont on tente de faire le deuil afin de ne plus être déçu par la réalité ; et un deuil pour pouvoir goûter découvrir et apprécier les saveurs propre à cette réalité. Certains y arrivent facilement, la tâche est plus ardue pour les plus utopistes, optimistes, réveurs, romantiques ou "innocents".

Vivre en poursuivant des rêves peut donner des ailes, mais Icare ne nous la fera pas deux fois. Il est pourtant difficile d'y renoncer quand ils sont trop présent et quand d'autres prennent forme.

A la rentrée prochaine je "risque" d'enseigner la guitare dans deux voire trois écoles. "Couleur Musique" à Bordeaux, dans les locaux de "Ludivine piano" à Langon et faire les remplacements des cours de Rija au conservatoire de Bordeaux (rien que ça!). Si celà n'est pas de la "chance" je ne sais pas ce que c'est, car donner des cours de guitare, surtout au conservatoire, alors que je n'ai aucun diplôme de pratique musicale ni de réelles expériences justifiées autre que des cours particuliers et indépendant.

Il va y avoir le master que je vais tenter de faire en même temps et puis la poursuite du piano jazz. Là aussi, être rentré au conservatoire en piano jazz, dans un cursus diplomant, relève du "délire", du "rêve". Tout en enseignant la guitare, je vais donc poursuivre mon "apprentissage" du piano et de la musique jazz en général, beaucoup travailler la guitare et le piano chez moi et puis Handle With Care qui grandit petit à petit et qui, j'espère, continuera de prendre une place grandissante.
L'année prochaine je risque de ne plus faire que de la musique...
Quelle "fatalité"!
J'en suis vraiment heureux!
Et c'est sans parler de la sonorisation en général et d'Il Faro en particulier dont les concerts vont reprendre à la rentrée avec de nouveaux morceaux à caler, de nouvelles salles à "conquérir", dans de nouvelles villes...

Ce week-end il y a eu la "fête de la musique" à Langon. J'ai équipé et géré une scène avec 6 groupes, uniquement avec du matos personel et quelques aides des musiciens. Les conditions étaient donc plutôt "roots" mais tout le monde s'est prété au jeu dans la bonne humeur, et ceci malgré la pluie. Heureusement! car une averse trop forte a condamné la soirée, obligeant 4 des groupes à repartir sans avoir pu monter sur scène... La dûre loi du rock'n'roll (ou de la mairie qui ne fournit pas de scène couverte).

Une scène avec les moyens du bord et l'orage qui gronde...

Heureusement, chocotte était là pour nettoyer la boue sur les câbles et les pieds de micros!

-

Maman a eu une lubie, les "pots rouges" que l'on trouve rive droite à Bordeaux l'ont fait beaucoup rire...

Evidemment, on avait une brouette à suspendre verticalement sur le mur pour le poser...

Comments

[...]

Magnifique chanson...

Si tu voyages dans le beau pays du nord,
Où les vents soufflent fort à la frontière,
Rappelle-moi à quelqu'un qui vit là.
Elle fut jadis mon véritable amour.
Si tu vas quand les neiges tempêtent,
Quand les fleuves gèlent et que l'été s'achève,
Regarde si elle a un manteau assez chaud,
Pour la protéger des vents qui hurlent.
Regarde pour moi si elle porte encore ses cheveux longs,
S'ils roulent et coulent sur sa poitrine,
Regarde pour moi si elle porte encore ses cheveux longs,
C'est ainsi que je me souviens le mieux d'elle.
Je me demande si elle se souvient encore un peu de moi.
Tant de fois j'ai souvent prié,
Dans l'obscurité de mes nuits,
Dans la clarté de mes jours.
Alors, si tu voyages dans le beau pays du nord,
Où les vents soufflent fort à la frontière,
Rappelle-moi à quelqu'un qui vit là.
Elle fut un jour mon véritable amour.

[...]

Magnifique chanson...

Si tu voyages dans le beau pays du nord,
Où les vents soufflent fort à la frontière,
Rappelle-moi à quelqu'un qui vit là.
Elle fut jadis mon véritable amour.
Si tu vas quand les neiges tempêtent,
Quand les fleuves gèlent et que l'été s'achève,
Regarde si elle a un manteau assez chaud,
Pour la protéger des vents qui hurlent.
Regarde pour moi si elle porte encore ses cheveux longs,
S'ils roulent et coulent sur sa poitrine,
Regarde pour moi si elle porte encore ses cheveux longs,
C'est ainsi que je me souviens le mieux d'elle.
Je me demande si elle se souvient encore un peu de moi.
Tant de fois j'ai souvent prié,
Dans l'obscurité de mes nuits,
Dans la clarté de mes jours.
Alors, si tu voyages dans le beau pays du nord,
Où les vents soufflent fort à la frontière,
Rappelle-moi à quelqu'un qui vit là.
Elle fut un jour mon véritable amour.